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Avant le dimanche de la Miséricorde, le 23 avril prochain, le cinéma Kijów, situé à la rue Krasińskiego 34, accueillera le IVe Festival de la Miséricorde avec une projection de films sur des thèmes religieux. Avant le film „Redemption”, il y aura une courte réunion d’introduction menée par Miłosz Horodyski avec le père Józef Pochwat MS du Sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Łagiewniki et le père Marek Drzewiecki. Il y aura également une projection en avant-première du film „Vivant”, qui sortira dans les cinémas en juin. Ces projections ne feront pas l’objet d’une vente de billets.

Dans la salle Studio, les films suivants sont au programme : „Le Sacré-Cœur”, „Maintenant et à l’heure de la mort”, „Le Miracle de Guadalaupe”, „La Ballade de la vache blanche”.

Tout au long de la journée, les bénévoles de Caritas collecteront de l’argent pour les réfugiés.

Le dimanche de la Miséricorde, le 24 avril, un film intitulé „Dieu à Cracovie” sera diffusé sur la chaîne You Tube du cinéma de Kijów à une heure déterminée plus tard.

Alléluia !!! Jésus est vivant !!! Il vit parmi nous et en nous quand nous sommes dans un état de grâce. L’amour a remporté le péché, la vie – la mort, Jésus a vaincu tout le mal et l’ennemi de l’homme – Satan. Depuis lors, nous en Jésus, nous pouvons remporter la victoire sur le péché et la faiblesse humaine, et donc vivre plus pleinement dans la communion avec Dieu. Célébrons la miséricorde de Dieu en nous et à travers nous ! Joyeuse célébration du plus grand mystère de notre foi !

À l’occasion de Pâques et de la fête de la Miséricorde Divine, les Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde souhaitent à tous les Bienfaiteurs, les Collaborateurs soutenant ses œuvres apostoliques, ainsi qu’aux Internautes visitant les sites de la Congrégation et le groupe : Sanctuaire de la Miséricorde Divine sur Facebook, un rencontre joyeux avec le Seigneur ressuscité et miséricordieux. Il apporte la paix que le monde ne peut pas donner, il remplit les cœurs de son amour et bénit toujours, comme sur le tableau qu’il a fait peindre. Nous souhaitons aussi toutes les grâces, et pendant la fête de la Miséricorde, de tirer profit de cette grande promesse de Jésus qui est la rémission complète des péchés et des punitions. Joyeuses Pâques !!!

Confiance. C’ est cette incrédulité envers ma bonté qui me blesse le plus. Si ma mort ne vous a pas convaincues de mon amour, qu’ est-ce qui vous en convaincra ? (PJ 580), Jésus, s’est plaint à Sainte Faustina. Sa vie, son enseignement et ses miracles ont révélé au monde la bonté de Dieu, son amour miséricordieux. Et pourtant, il est difficile pour nous de faire confiance à Dieu, tant la blessure de méfiance du péché originel et de nos péchés personnels est profonde. Soeur Faustine ouvre les rideaux du ciel et nous fait connaître plus profondément l’amour miséricordieux de Dieu, la plus révélée par la soffrance et la mort de Jésus. Cette connaissance génère et développe en nous une attitude de confiance qui s’exprime en faisant la volonté de Dieu, contenue dans les commandements, la parole de Dieu, les devoirs ou l’inspiration du Saint-Esprit. La volonté de Dieu, comme disait Sainte Faustine, est pour nous la miséricorde, c’est pourquoi elle l’accomplissait fidèlement et priait ainsi: Si tu m’emportes en pleine jeunesse, sois béni. Si tu m’ accordes de vivre jusqu’ à un âge avancé, sois béni. Si tu me donnes santé et force, sois béni. Si tu me cloues sur un lit de souffrance, même pour toute ma vie, sois béni. Si tu ne me donnes dans la vie que des échecs et des déceptions, sois béni. Si tu permets que mes intentions les plus pures soient blâmées, sois béni. Si tu accordes de la lumière à mon esprit, sois béni. Si tu me laisses plongée dans les ténèbres et dans toutes sortes de tourments, sois béni. Depuis ce moment, je vis dans une paix très profonde, car le Seigneur lui-même me porte dans ses bras. Lui, le Seigneur d’ infinie miséricorde, sait bien que je ne désire que lui seul en tout, toujours et partout (PJ 1264).

Accomplir la volonté de Dieu est non seulement une expression de confiance en Dieu, mais nous libère de la peur, de l’orgueil et de l’égoïsme, apporte paix et joie, nous permet de vivre plus pleinement dans la liberté des enfants de Dieu et de participer à la vie et à la mission de Jésus. C’est le moyen le plus court de s’unir à Dieu dans l’amour.

Dans l’Église catholique, le Samedi Saint est un jour de deuil après la crucifixion de Jésus-Christ. Dans les églises et les chapelles, auprès du « Tombeau du Seigneur », nous adorons Jésus dans le Saint-Sacrement, en le remerciant pour le travail de la rédemption et des grâces reçus sur la croix pour notre salut, et nous prions pour la miséricorde pour nous et le monde entier. Dans le Sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Lagiewniki, dès le matin, des aliments sont bénis pour la table de Pâques. À 15h00,  la prière à l’heure de la Miséricorde est célébrée avec la neuvaine avant la fête de la Miséricorde Divine, puis la célébration de la descente de Notre Seigneur Jésus-Christ aux enfers. Le soir, donc à 20h00, devant la basilique, les rites de la Veillée pascale se commencent avec l’Eucharistie où pendant la liturgie les vœux du baptême sont renouvelés.

Le seul jour de l’année où il n’y a pas de l’Eucharistie car le sacrifice le plus parfait de lui-même a été fait au Golgotha par Jésus-Christ. La source de ma Miséricorde a été largement ouverte par la lance sur la Croix pour toutes les âmes: Je n’exclus personne ! (PJ 1182), a dit Jésus à Sainte Faustina pendant l’une des nombreuses révélations associées à sa passion. Le Vendredi saint, dans le Sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Lagiewniki, d’une manière particulièrement solennelle, la prière au moment de l’agonie de Jésus sur la croix (Heure de la Miséricorde) est célébrée à 15h00, ainsi que la neuvaine avant la fête de la Miséricorde (transmission à: www.soeurfaustinae.fr. Après la neuvaine, env. 15h30, la messe du chemin de la croix sera célébrée. La Liturgie de la Passion du Vendredi commencera dans la basilique à 18h00. Après l’adoration de la Croix et la Sainte Communion, la procession eucharistique partira au Saint-Sépulcre qui est traditionnellement préparé dans le couvent, dans la chapelle de la Passion. Là, il y aura une adoration continuelle de Jésus dans le Saint Sacrement qui commencera par la prière « Regrets amers ». Le jeûne strict et l’abstinence de la viande sont obligatoires le Vendredi saint.

Le Jeudi Saint est un jour d’action de grâces au Dieu miséricordieux pour le don du sacerdoce et de l’Eucharistie. En cette heure de prière Jésus me permit d’entrer dans le Cénacle, écrit la sœur Faustine de son expérience mystique,  et j’assistai à ce qui s’y passait. Je fus très émue quand, avant la consécration, Jésus leva les yeux au ciel et entra dans une mystérieuse conversation avec Son Père. Ce n’est que dans l’éternité que nous comprendrons ce moment-là.. Ses yeux étaient comme deux flammes, Son visage rayonnant, blanc comme la neige, toute Sa personne empreinte de majesté. Son âme pleine de lassitude, se reposa au moment de la consécration : l’amour était assouvi, le sacrifice pleinement accompli. Maintenant il ne restait plus que la cérémonie extérieure de la mort à accomplir, la destruction extérieure. L’essence est au Cénacle (PJ. 684).

Dans le Sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Lagiewniki, le Jeudi saint (le 14 avril de cette année), à 10h00, la messe chrismale sera célébrée par le archevêque Marek Jędraszewski, au cours de laquelle les huiles pour la célébration des sacrements seront bénies. L’Eucharistie sera concélébrée par des prêtres de l’ensemble de l’archidiocèse. Les jeunes et le service liturgique de l’autel viendront avec eux. À 18h00, la Messe en la Cène du Seigneur sera présidée par l’évêque Jan Zajac, gardien honoraire du Sanctuaire. La liturgie du Jeudi saint sera terminée par la procession avec le Saint Sacrement au reposoir qui se trouve traditionnellement dans la chapelle du couvent avec le tableau miraculeux de Jésus Miséricordieux et le tombeau de Sainte Faustine. L’adoration de Jésus dans le reposoir va durer toute la nuit.

Du 7 au 11 avril de cette année, sœur Gaudia et sœur Inga de la communauté de Washington de la Congrégation de Notre Dame de la Miséricorde partageront le message de la Miséricorde inscrit au « Petit Journal » de Sainte Faustine avec les fidèles de la paroisse Saint Matthieu à Sidney, au Montana qui est frontalier avec le Canada. Outre une conférence sur la présence vivante de Jésus dans le Saint-Sacrement et les thèmes essentiels du message de la Miséricorde, le programme comprend le chemin de croix, l’heure de la Miséricorde et le chapelet de la Miséricorde Divine, ainsi que l’adoration de Jésus dans le Saint-Sacrement. À l’issue de la mission, un déjeuner commun avec les participants à ces rencontres.

L’importance des choix quotidiens. Peut-être ne réalisons-nous pas à quel point beaucoup de choses dépendent de nos choix quotidiens, de prendre la croix pour chaque jour et de suivre les traces de Jésus. En fait, ici dans la vie terrestre, nous décidons de tout: non seulement de ce qui compte pour la vie personnelle, familiale, professionnelle, sociale, nationale … mais surtout pour la vie éternelle. Nous vivons sur terre uniquement pour apprendre l’amour, car toute éternité consiste en l’amour. Et dans l’art d’aimer, il y a une croix de supporter la souffrance, de pardon, de sacrifices … Jésus a ainsi instruit Sœur Faustine de l’importance pour la vie éternelle de la capacité de porter la croix.

Aussitôt, j’ai vu le Seigneur Jésus cloué sur la croix. Jésus était sur la croix depuis un moment, lorsque j’ ai vu toute une légion d’ âmes crucifiées comme lui. Et j’ ai vu une 284 petit journal deuxième légion d’ âmes, puis une troisième. Les âmes de la seconde légion n’ étaient pas clouées sur la croix, mais tenaient fermement leur croix en main. Les âmes de la troisième légion n’ étaient pas crucifiées et ne tenaient pas non plus fermement leur croix en main, mais elles traî­naient leur croix derrière elles et elles étaient mécontentes. Et Jésus m’ a dit : « Tu vois, les âmes qui me ressemblent dans la souffrance et dans le mépris me ressembleront aussi dans la gloire ; et celles qui sont moins semblables à moi dans la souffrance et dans le mépris me seront aussi moins semblables dans la gloire (PJ 446).

Cette année, du 8 au 10 avril, une retraite pour les filles et les femmes se tiendra au couvent des Carmélites déchaussées de Lorinčík, près de Košice, dans le sud de la Slovaquie, sur le thème : „Couverte de miséricorde”. La retraite sera animée par le père Andrej Valent OCD et s. M. Benediktína Fečová de la communauté de Kosice de la Congrégation de Notre Dame de la Miséricorde.

Le 10 avril de cette année est le dimanche des Rameaux qui commence la Semaine Sainte. Ce jour-là, pendant les Messes, la description évangélique de la Passion de Jésus est lue. L’eucharistie est précédée d’une procession avec des rameaux ou tout simplement de la bénédiction des rameaux pour commémorer l’entrée solennelle de Jésus à Jérusalem. Les rameaux sont un symbole de la relance de la vie de Dieu dans les âmes des fidèles. Au sanctuaire de Cracovie-Lagiewniki, la procession solennelle avec des rameaux et l’évêque Jan Zajac, des prêtres, sœurs et fidèles sort de la chapelle avec le tableau miraculeux de Jésus Miséricordieux et le tombeau de Sainte Faustine à 10h15 et va à la basilique où l’eucharistie sera célébrée. La description évangélique de l’entrée solennelle de Jésus à Jérusalem complète en quelque sorte l’expérience mystique de Sainte Faustine qui a écrit dans le « Petit Journal » : Je vis Jésus assis sur un ânon, suivi de ses disciples. Une foule immense, joyeuse, l’accompagnait. Tenant des branches à la main, les uns les jetaient au pied de là où passait le Seigneur Jésus ; d’autres les brandissaient en l’air, sautant et criant devant le Seigneur, ne sachant que faire tant était grande leur joie. Je vis aussi une seconde foule de gens qui sortaient à la rencontre de Jésus. Ils avaient des mines réjouies, et, tenant des branches à la main, ils ne cessaient de crier de joie. Il y avait là aussi des petits enfants. Mais Jésus était très sérieux et Il me fit connaître combien Il souffrait pendant ce temps.  Alors je ne vis plus rien, seulement Jésus dont le Cœur était saturé par l’ingratitude des hommes (Petit Journal 642). Jésus m’a fait connaître combien il a souffert durant ce cortège triomphal. En écho à l’Hosanna, résonnait dans le Cœur de Jésus : « crucifie-Le ! » Jésus m’a fait ressentir ce la de façon particulière. (Petit Journal 1028).

Le 5 avril de cette année à Turin, à l’église St. Christine, la réunion de formation de la communauté de l’Association des Apôtres de la Miséricorde Divine „Faustinum” aura lieu. Cette fois-ci, elle sera animée par sœur Emanuela Gemza de la communauté de Cracovie de la Congrégation de Notre Dame de la Miséricorde. Le programme comprend : Eucharistie avec la vénération des reliques de Sainte Faustine, conférence sur Jésus miséricordieux, le rédempteur de l’homme, rencontre autour d’un thé.

Prendre soin de la conversion des pécheurs. C’est le plus grand acte de miséricorde, car il prend en compte le bien éternel de l’autre personne. Sœur Faustine, à l’instar de Jésus, a même, dans cette intention, sacrifié sa vie. Au cours d’expériences mystiques, elle a connu le ciel, le purgatoire et l’enfer et disait donc qu’aucun sacrifice n’était trop grand pour sauver un homme pour l’éternité. Jésus l’a invitée – et à travers elle aussi nous – à coopérer à l’œuvre de salut des pécheurs, même de ceux pour qui, humainement, il n’y a pas d’espoir. Il a demandé à plusieurs reprises: Combien je désire le salut des âmes ! Ma fille, aide-moi à sauver les âmes. Joins tes souffrances à ma Passion et offre-les au Père céleste pour le salut des pécheurs (P. J. 1032). La perte de chaque âme me plonge dans une tristesse mortelle. Tu me consoles toujours, quand tu pries pour les pécheurs. La prière qui m’ est la plus agréable est la prière pour la conversion des âmes pécheresses. Sache, ma fille, que cette prière est toujours exaucée (P. J. 1397).

Soeur Faustine répond avec générosité à l’invitation de Jésus: Jésus, je désire amener les âmes à la source de ta miséricorde, afin qu’ avec le vase de la confiance, elles y puisent l’ eau vivifiante de la vie. Plus l’ âme désire la miséricorde divine, plus la confiance avec laquelle elle se tourne vers Dieu doit être grande, et, si sa confiance en Dieu est sans limite, la miséricorde de Dieu pour elle sera également sans limite. Ô mon Seigneur, tu connais chaque battement de mon coeur, tu sais avec quelle ardeur je désire que tous les coeurs ne battent que pour toi, afin que toutes les âmes glorifient la grandeur de ta miséricorde (P. J. 1489).

La 1ère Convention nationale de l’Association des Apôtres de la Miséricorde Divine „Faustinum” se tiendra à Loretto du 1er au 3 avril. Des membres et des volontaires de toute l’Italie participeront à l’événement, ainsi que s Emanuela Gemza de la communauté de Cracovie de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde, vice-présidente de „Faustinum”, et s Wincenta Mąka du Centre de Spiritualité de la Miséricorde de Rome. Au programme : prière commune, conférences, témoignages, partage de l’expérience de la miséricorde de Dieu et du service apostolique. Le dernier jour de la Convention, il y aura une cérémonie d’admission de nouveaux membres à l’Association „Faustinum” et de confier tous les membres et volontaires italiens à Notre Dame.

Une retraite intitulée „Un message prophétique de la Miséricorde Divine pour notre temps” se tiendra à la paroisse de l’Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie de Turlock du 24 au 28 mars prochain. Elle sera animée par s. Gaudia Skass et s. Grace de la communauté de Washington de la Congrégation de Notre Dame de la Miséricorde. Le culte de la Miséricorde Divine est très vivant dans cette paroisse, ce qui permet d’explorer le message de Miséricorde que Jésus a transmis à Sainte Faustine et le pape Jean-Paul II a donné à l’Église et au monde pour le troisième millénaire, car ce n’est que dans la miséricorde de Dieu que le monde trouvera la paix et l’homme le bonheur. Au cours de la retraite, il y aura des occasions de se confesser, d’adorer Jésus dans le Saint Sacrement, de prier en silence, ainsi que de participer à l’Eucharistie commune et au chemin de croix.